On assiste, depuis 2012, a une floraison de fablabs sur le territoire français. Ces ateliers équipés de machines à commandes numériques (et d’outils plus traditionnels) permettent à chacun de venir fabriquer des objets du quotidien, des pièces de rechange, voire de concevoir des objets innovants. Le terme « fablab » fait référence au modèle standard proposé par le Massachusets Institut of Technology (MIT). Les fablabs et leurs diverses variantes (makerspace, laboratoire d’innovation ouverte, atelier collaboratif, atelier partagé, hackerspace…) procèdent d’un état d’esprit (une culture du « faire » et de l’apprentissage : tout le monde peut apprendre) et d’un ensemble de conventions et de valeurs fondées sur la coopération et le partage.
Le réseau français des fablabs dresse un panorama des fablabs en France
Le Conseil Scientifique du Réseau Français des Fablabs (RFFLabs) a mené en 2018 une enquête visant à produire un panorama des fablabs en France.Cette enquête met en relief une grande diversité des activités proposées
81 % des structures proposent des activités de formation (81 %) et d’initiation (97 %). L’organisation d’évènements (80 %) ou d’expositions (29 %) prennent également une grande place dans la vie de ces lieux. Au quotidien, les activités liées à la réparation (86 %), à la fabrication (80 %) ou au bricolage (86 %) occupent une grande partie du temps. L’accueil du jeune public (71 %) est par ailleurs favorisé et encouragé.
On y apprend que les Fablabs proposent souvent des activités plus directement professionnelles, directement liées au prototypage (69 %) et à l’accompagnement de projet (68 %). Un autre volet, plus lucratif, concerne le coworking (37 %) et la privatisation de l’espace (34 %). « Pour de nombreux lieux, ces activités peuvent représenter des sources de revenus intéressantes ». 47 % des structures ont dédié une partie de leur espace à des bureaux ou pour des activités administratives.
Fablabs et « makers » expérimentent d’autres manières de travailler, de produire, de consommer et de vivre dans la cité.
On assiste, depuis 2012, a une floraison de fablabs sur le territoire français. Ces ateliers équipés de machines à commandes numériques (et d’outils plus traditionnels) permettent à chacun de venir fabriquer des objets du quotidien, des pièces de rechange, voire de concevoir des objets innovants. Le terme « fablab » fait référence au modèle standard proposé par le Massachusets Institut of Technology (MIT). Les fablabs et leurs diverses variantes (makerspace, laboratoire d’innovation ouverte, atelier collaboratif, atelier partagé, hackerspace…) procèdent d’un état d’esprit (une culture du « faire » et de l’apprentissage : tout le monde peut apprendre) et d’un ensemble de conventions et de valeurs fondées sur la coopération et le partage.
Le réseau français des fablabs dresse un panorama des fablabs en France
Le Conseil Scientifique du Réseau Français des Fablabs (RFFLabs) a mené en 2018 une enquête visant à produire un panorama des fablabs en France.Cette enquête met en relief une grande diversité des activités proposées
81 % des structures proposent des activités de formation (81 %) et d’initiation (97 %). L’organisation d’évènements (80 %) ou d’expositions (29 %) prennent également une grande place dans la vie de ces lieux. Au quotidien, les activités liées à la réparation (86 %), à la fabrication (80 %) ou au bricolage (86 %) occupent une grande partie du temps. L’accueil du jeune public (71 %) est par ailleurs favorisé et encouragé.
On y apprend que les Fablabs proposent souvent des activités plus directement professionnelles, directement liées au prototypage (69 %) et à l’accompagnement de projet (68 %). Un autre volet, plus lucratif, concerne le coworking (37 %) et la privatisation de l’espace (34 %). « Pour de nombreux lieux, ces activités peuvent représenter des sources de revenus intéressantes ». 47 % des structures ont dédié une partie de leur espace à des bureaux ou pour des activités administratives.